[PARTENARIAT] Quel plaisir de redécouvrir la plume de Bruno Combes avec son nouveau roman « Je ne cours plus qu'après mes rêves » ! Un immense merci à lui et aux éditions Michel Lafon pour l'envoi de cet ouvrage en avant-première.
RÉSUMÉ
Je m'appelle Louane, j'ai dix-huit ans. Ma vie est facile, enfin, je l'ai cru ; je ne me suis jamais vraiment posé la question. Jusqu'au jour où...
Je m'appelle Laurene, j'ai trente-neuf ans. J'ai cherché le bonheur et, en même temps, je l'ai fui dès qu'il s'approchait. Jusqu'au jour où...
Je m'appelle Louise, j'ai soixante-dix-sept ans. Mon existence m'a comblée et a été d'une parfaite tranquillité. Jusqu'au jour où...
Nous ne nous connaissions pas. Rien ne laissait prévoir l'aventure que nous allions partager. Nos vies allaient en être bouleversées.
Trois femmes, trois solitudes, mais un point commun : elles ne veulent plus renoncer à leurs rêves.
CE QUE J'EN AI PENSÉ
Ce roman est un joli coup de cœur ! Dans « Je ne cours plus qu'après mes rêves », nous partons à la rencontre de trois femmes, issues de trois générations différentes. Le destin réserve parfois de belles surprises puisque les trois protagonistes vont être amenées à se croiser à un moment opportun pour chacune d'entre elles…
Louise, soixante-dix-sept ans, souffre de la maladie d'Alzheimer. Elle intègre un centre spécialité suite au décès de son mari et à la décision radicale de ses deux enfants, Marie et Paul. C'est à cet endroit que les parents de Louane, dix-huit ans, l'envoient pour la punir d'avoir échoué au baccalauréat. Selon eux, la jeune adulte doit prendre conscience de la chance qu'elle a et de la dure réalité de la vie. Si les premiers jours aux Roses-Pourpres s'avèrent difficiles, les deux femmes aux cinquante-neuf ans d'écart vont tisser de forts liens. Nous assistons à une sorte de coup de foudre amical, aussi surprenant que sincère.
« La jeunesse, c'est profiter de chaque instant, comme un cadeau que nous offre la vie, sans se soucier des conséquences. Mais c'est aussi le pouvoir de croire à ses rêves et de les laisser se transformer en espoirs. Car au bout du chemin, ce qui comptera vraiment, ce seront les rêves que nous aurons osé vivre. » - page 41
Au fil des semaines, l'état de santé de Louise va se dégrader, sous le regard impuissant de Louane. La septuagénaire va alors demander l'impensable à sa jeune compère. Son vœu le plus cher ? Partir dès que possible près de Séville, en Espagne, pour vivre ses derniers instants dans le moulin familial où elle a grandi. Après de nombreux questionnements, Louane va prendre une décision qui ne va pas mettre tout le monde d'accord… Entre raison et désir, quel chemin va-t-elle emprunter ?
« Les rencontres les plus improbables sont celles qui nous apportent la surprise de l'inattendu. » - page 91
Nos deux personnages vont finir par faire la connaissance de Laurene, une quadragénaire au caractère bien trempé. Cette Parisienne va se dévoiler peu à peu et nous comprenons son besoin d'évasion pour faire un point sur la vie qu'elle mène. Nos « 3L » (Louise, Louane et Laurene) ont toutes des destins croisés mais une même ambition : courir après leurs rêves plus que tout !
« On devrait vider nos cœurs comme on vide une vieille malle. Se débarrasser des tristesses qui débordent, des regrets trop poussiéreux qui embrument nos lendemains. » - page 201
Dans « Je ne cours plus qu'après mes rêves », Bruno Combes accorde une place importante aux choix auxquels nous devons faire face au cours de notre vie. La liberté et les rêves font partie de la thématique centrale de ce roman plein de sincérité et subtilement bien écrit. Cette lecture m'a conquise, la plume de l'auteur est douce, juste et empreinte d'émotion. Les personnages sont forts, les trois générations ne font plus qu'une pour le plus grand bonheur du lecteur.
Encore une fois, un grand merci à Bruno Combes et aux éditions Michel Lafon pour l'envoi de ce roman. Je vous invite à le découvrir dès sa sortie en librairie le 2 mai 2019 !
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