Aujourd'hui, je vous parle du premier roman de Mathieu Menegaux : « Je me suis tue ». Ce roman est une pépite qui m'a bouleversée. Je vous le recommande chaleureusement.
RÉSUMÉ
Un dîner en ville. Au menu, nourriture bio, affaires et éducation des enfants. Claire s'ennuie et décide de rentrer seule à vélo. Elle ne le sait pas encore mais sa vie vient de basculer. Tour à tour victime puis criminelle, Claire échoue en prison et refuse obstinément de s'expliquer. À la veille de son jugement, elle se décide enfin à sortir de son mutisme...
CE QUE J'EN AI PENSÉ
J'ai été complètement conquise par la plume de Mathieu Menegaux avec son second roman, « Un fils parfait ». C'est pourquoi j'ai rapidement eu envie de découvrir son premier ouvrage « Je me suis tue », paru en version poche aux éditions Points. Ce court livre de 137 pages m'a, une fois de plus, remuée tant il est fort, puissant et incroyable.
Nous faisons la connaissance de Claire, cloîtrée depuis près de deux ans au cœur d'une prison pour femmes. Nous comprenons vite qu'elle est isolée des autres détenues : qu'a-t-elle commis ? Cette question, nous nous la posons jusqu'aux derniers chapitres. « Je me suis tue » est fait de rebondissements, nous passons par toutes les émotions : la peur, l'empathie, la joie, la colère, l'incompréhension.
Rapidement, nous assistons à un flash-back. « Je me suis tue » est écrit sous forme d'une lettre. À la manière d'« Un fils parfait », il s'agit d'un cri. Un cri pour rétablir la vérité, pour comprendre un comportement, un geste. Une soirée suffit à faire basculer la vie tout entière de Claire et à balayer, sur son passage, sa vie de couple avec Antoine. Ce qui s'est réellement passé, seule Claire le sait. Et ce secret, elle le gardera pour toujours. Elle doit faire face à des choix qui seront déterminants pour son avenir - et celui de son couple.
« Je me suis tue » est un livre extrêmement bien écrit. Amateur de musique, vous y trouverez plusieurs références bien dissimulées au fil des pages. Mathieu Menegaux manie les mots avec brio et traite de durs sujets avec talent. « Est-ce ainsi que les hommes jugent ? », son troisième roman, sera disponible dès le 2 mai 2018 aux éditions Grasset.
Nous faisons la connaissance de Claire, cloîtrée depuis près de deux ans au cœur d'une prison pour femmes. Nous comprenons vite qu'elle est isolée des autres détenues : qu'a-t-elle commis ? Cette question, nous nous la posons jusqu'aux derniers chapitres. « Je me suis tue » est fait de rebondissements, nous passons par toutes les émotions : la peur, l'empathie, la joie, la colère, l'incompréhension.
Rapidement, nous assistons à un flash-back. « Je me suis tue » est écrit sous forme d'une lettre. À la manière d'« Un fils parfait », il s'agit d'un cri. Un cri pour rétablir la vérité, pour comprendre un comportement, un geste. Une soirée suffit à faire basculer la vie tout entière de Claire et à balayer, sur son passage, sa vie de couple avec Antoine. Ce qui s'est réellement passé, seule Claire le sait. Et ce secret, elle le gardera pour toujours. Elle doit faire face à des choix qui seront déterminants pour son avenir - et celui de son couple.
« Je me suis tue » est un livre extrêmement bien écrit. Amateur de musique, vous y trouverez plusieurs références bien dissimulées au fil des pages. Mathieu Menegaux manie les mots avec brio et traite de durs sujets avec talent. « Est-ce ainsi que les hommes jugent ? », son troisième roman, sera disponible dès le 2 mai 2018 aux éditions Grasset.
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